Le premier point de vigilance, dans l’ordre chronologique, est celui qui consiste à lutter contre les signes distinctifs victimaires.
Il convient :
* de connaitre les signes distinctifs des uns et des autres (ce qui distingue chacun des protagonistes de la situation),
* d’entrevoir les effets de ces signes distinctifs sur les uns et sur les autres (y compris – ce qui n’est pas aisé- dans la dynamique complexe des systèmes) : effets positifs, négatifs ou d’indifférence,
* de travailler à ce que les signes distinctifs d’indifférence le restent ou deviennent positifs ; à ce que les les signes distinctifs négatifs deviennent positifs ou neutre ; les signes distinctifs positifs le restent ; accepter néanmoins d’être porteur de signes qui ne sont pas reconnus comme positifs et accepter de ne pas reconnaitre tous les signes distinctifs comme étant positifs.
* de faire que la réalité des interactions en situation contredisent les préjugés négatifs et fassent émerger de nouveaux signes distinctifs positifs.
On sait que certains signes distinctifs sont ou deviennent négatifs à juste raison. Il convient alors de corriger ces signes, de les faire corriger, d’aider à les faire corriger. Pour ces signes-là, si on ne veut pas qu’ils accélèrent le processus, doivent être corrigés, supprimés.